Sommaire du journal N°84 - Janvier/Février 2007
Chers lecteurs,
Dans notre dernier numéro, mon stylo avait quelque peu dérapé en ajoutant un zéro au coût de la Cité de l'Huître de Marennes. Près de 10 millions d'euros, la somme était déjà assez importante pour ne pas avoir à en rajouter !
En ce qui concerne le complexe aquatique, le permis de construire a été signé le 21 décembre. Un cadeau de Noël que les associations, au premier rang desquelles la SPPIO, n'ont guère apprécié. Pas plus qu'elles n'ont apprécié certains commentaires du commissaire enquêteur dont elles estiment qu'il a outrepassé sa mission. Elles reprochent en outre, et semble-t-il à juste titre, à la CdC, de ne pas leur avoir communiqué le dossier complet de l'enquête. Les associations doivent saisir la commission d'accès aux documents administratifs (CADA). Il faut bien dire qu'il est pénible d'en arriver là : saisir la CADA, déjà débordée, pour tout simplement faire respecter la loi !
Nous essaierons d'éclaircir dans notre prochain numéro l'imbroglio juridique qui fait que le CEPMO, le lycée expérimental de Saint-Georges, n'a pas été pris en compte dans la décentralisation. C'est la commune et non la Région qui en est le propriétaire et qui doit en assurer l'entretien. La Région a pourtant fait participer le CEPMO, comme tous les autres lycées, aux BPL, les budgets participatifs de la région. On en connaît le principe : les lycéens décident eux-mêmes des investissements qu'ils souhaitent pour leur lycée à la hauteur de 10 % du budget global alloué aux lycées de la région, ce qui fait une somme de 10 millions d'euros environ pour les quelque 90 établissements picto-charentais. La Région ne peut donc d'un côté faire participer le CEPMO aux BPL et ne pas concourir aux travaux de rénovation du lycée. Nul doute que les choses vont s'arranger.
Dans notre dernier numéro, mon stylo avait quelque peu dérapé en ajoutant un zéro au coût de la Cité de l'Huître de Marennes. Près de 10 millions d'euros, la somme était déjà assez importante pour ne pas avoir à en rajouter !
En ce qui concerne le complexe aquatique, le permis de construire a été signé le 21 décembre. Un cadeau de Noël que les associations, au premier rang desquelles la SPPIO, n'ont guère apprécié. Pas plus qu'elles n'ont apprécié certains commentaires du commissaire enquêteur dont elles estiment qu'il a outrepassé sa mission. Elles reprochent en outre, et semble-t-il à juste titre, à la CdC, de ne pas leur avoir communiqué le dossier complet de l'enquête. Les associations doivent saisir la commission d'accès aux documents administratifs (CADA). Il faut bien dire qu'il est pénible d'en arriver là : saisir la CADA, déjà débordée, pour tout simplement faire respecter la loi !
Nous essaierons d'éclaircir dans notre prochain numéro l'imbroglio juridique qui fait que le CEPMO, le lycée expérimental de Saint-Georges, n'a pas été pris en compte dans la décentralisation. C'est la commune et non la Région qui en est le propriétaire et qui doit en assurer l'entretien. La Région a pourtant fait participer le CEPMO, comme tous les autres lycées, aux BPL, les budgets participatifs de la région. On en connaît le principe : les lycéens décident eux-mêmes des investissements qu'ils souhaitent pour leur lycée à la hauteur de 10 % du budget global alloué aux lycées de la région, ce qui fait une somme de 10 millions d'euros environ pour les quelque 90 établissements picto-charentais. La Région ne peut donc d'un côté faire participer le CEPMO aux BPL et ne pas concourir aux travaux de rénovation du lycée. Nul doute que les choses vont s'arranger.
Ile d'Oléron
- Redevance des ordures ménagères et hôtellerie de plein air
- Pour mieux circuler sur l'île
- Complexe aquatique, rapport favorable
- Les saveurs de Marennes Oléron
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
Nature
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Commentaires
Courrier des lecteurs
Marie-Claude Laurent [Rochefort], propriétaire à Dolus, nous a envoyé un courrier adressé à Pascal Massicot, président de la Communauté de communes, concernant le péage.