Sommaire du journal N°36 - Janvier/Février 1999
Chers lecteurs,
Au cours des quinze dernières années, un arsenal considérable de lois concernant l'environnement a été mis en place : loi Littoral, loi Montagne, loi sur l'eau, sur l'air, sur le bruit, etc. Au fil des procès, la jurisprudence s'établit et donne raison, la plupart du temps, aux associations de défense de la nature. Il a fallu du temps aux élus pour s'en rendre compte. Et ce d'autant plus difficilement que, pour toute construction, modification du paysage ou autre révision du plan d'occupation des sols, ils avaient le blanc-seing des services de l'Etat. Quand ils ont fini par comprendre que les tribunaux condamnaient les communes et pratiquement jamais les services de l'Etat – les conseilleurs ne sont pas les payeurs –, les élus, certains avec réticence, ont commencé à écouter les associations.
Dans le même temps, celles-ci se sont "professionnalisées". La SPPIO, la plus importante de l'île, est, depuis longtemps, sortie du ghetto où certains avaient voulu l'enfermer et suscite des vocations. La dernière en date est Le Clapotis, une association qui, à partir de la contestation d'un permis de construire à la Perrotine, entend défendre plus largement, aujourd'hui, l'environnement à Saint-Georges. Plus il y aura de dialogue et de concertation, moins il y aura de procès inutiles et coûteux pour tout le monde. Cela semble une évidence mais il y a encore, ici et là, quelques susceptibilités à gommer.
Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 1999.
Au cours des quinze dernières années, un arsenal considérable de lois concernant l'environnement a été mis en place : loi Littoral, loi Montagne, loi sur l'eau, sur l'air, sur le bruit, etc. Au fil des procès, la jurisprudence s'établit et donne raison, la plupart du temps, aux associations de défense de la nature. Il a fallu du temps aux élus pour s'en rendre compte. Et ce d'autant plus difficilement que, pour toute construction, modification du paysage ou autre révision du plan d'occupation des sols, ils avaient le blanc-seing des services de l'Etat. Quand ils ont fini par comprendre que les tribunaux condamnaient les communes et pratiquement jamais les services de l'Etat – les conseilleurs ne sont pas les payeurs –, les élus, certains avec réticence, ont commencé à écouter les associations.
Dans le même temps, celles-ci se sont "professionnalisées". La SPPIO, la plus importante de l'île, est, depuis longtemps, sortie du ghetto où certains avaient voulu l'enfermer et suscite des vocations. La dernière en date est Le Clapotis, une association qui, à partir de la contestation d'un permis de construire à la Perrotine, entend défendre plus largement, aujourd'hui, l'environnement à Saint-Georges. Plus il y aura de dialogue et de concertation, moins il y aura de procès inutiles et coûteux pour tout le monde. Cela semble une évidence mais il y a encore, ici et là, quelques susceptibilités à gommer.
Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 1999.
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Courrier des lecteurs
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