Sommaire du journal N°29 - Novembre/Décembre 1997
Chers lecteurs,
Il y a une lacune dans l'étude du Conseil général sur l'écotaxe : il n'y a pas un mot sur une éventuelle exonération des propriétaires de résidences secondaires. S'il semble acquis, dans l'esprit des élus locaux, que les îliens permanents ne paieront pas – bien que l'étude ne fasse allusion qu'à un tarif réduit pour les riverains et non à la gratuité – la question reste posée pour les secondaires.
On sait que la Charente-Maritime, qui a l'ambition de devenir le premier département touristique de France, n'a aucune considération pour des résidents secondaires qui paient "plein pot" pour les services départementaux des ponts de Ré et de Rochefort. C'est aussi sans doute pour cette raison que les services du Département s'arc-boutent à la notion de domicile, en tant qu'établissement principal, pour ne pas avoir à délivrer de cartes grises aux résidents secondaires.
Certains de nos abonnés, des couples, ont trouvé la solution : le domicile principal du mari (ou de l'épouse) est à X... et celui de l'épouse (ou du mari) dans l'île d'Oléron. Ce qui est légal. D'autres se sont inscrits sur les listes électorales de leur commune de résidence secondaire dans l'île. Une excellente façon d'être écoutés.
Soulignons, en toute équité, que les deux conseillers généraux de l'île – dont le siège de l'un est renouvelable aux prochaines cantonales – se sont déclarés favorables à l'exonération de l'écotaxe pour les résidents secondaires. Mais seront-ils suivis par l'assemblée départementale ?
Rappelons, à toutes fins utiles, qu'il suffit d'être propriétaire depuis au moins cinq ans pour pouvoir s'inscrire sur les listes électorales, entre le 1er septembre et le 31 décembre.
Rappelons aussi, comme les services fiscaux nous l'ont confirmé, qu'il y a, dans l'île, 12 065 logements secondaires contre 8 900 logements principaux. Ce qui signifie que les résidents secondaires sont majoritaires sur l'île d'Oléron.
Il y a une lacune dans l'étude du Conseil général sur l'écotaxe : il n'y a pas un mot sur une éventuelle exonération des propriétaires de résidences secondaires. S'il semble acquis, dans l'esprit des élus locaux, que les îliens permanents ne paieront pas – bien que l'étude ne fasse allusion qu'à un tarif réduit pour les riverains et non à la gratuité – la question reste posée pour les secondaires.
On sait que la Charente-Maritime, qui a l'ambition de devenir le premier département touristique de France, n'a aucune considération pour des résidents secondaires qui paient "plein pot" pour les services départementaux des ponts de Ré et de Rochefort. C'est aussi sans doute pour cette raison que les services du Département s'arc-boutent à la notion de domicile, en tant qu'établissement principal, pour ne pas avoir à délivrer de cartes grises aux résidents secondaires.
Certains de nos abonnés, des couples, ont trouvé la solution : le domicile principal du mari (ou de l'épouse) est à X... et celui de l'épouse (ou du mari) dans l'île d'Oléron. Ce qui est légal. D'autres se sont inscrits sur les listes électorales de leur commune de résidence secondaire dans l'île. Une excellente façon d'être écoutés.
Soulignons, en toute équité, que les deux conseillers généraux de l'île – dont le siège de l'un est renouvelable aux prochaines cantonales – se sont déclarés favorables à l'exonération de l'écotaxe pour les résidents secondaires. Mais seront-ils suivis par l'assemblée départementale ?
Rappelons, à toutes fins utiles, qu'il suffit d'être propriétaire depuis au moins cinq ans pour pouvoir s'inscrire sur les listes électorales, entre le 1er septembre et le 31 décembre.
Rappelons aussi, comme les services fiscaux nous l'ont confirmé, qu'il y a, dans l'île, 12 065 logements secondaires contre 8 900 logements principaux. Ce qui signifie que les résidents secondaires sont majoritaires sur l'île d'Oléron.
Ile d'Oléron
- Une quinzaine de cabanes ont brûlé
- Les pêcheurs de civelles au tribunal
- Les recettes de l'écotaxe réservées aux espaces naturels
- Une huître "quatre saisons" naturelle
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
- Un transfert de 50 000 m3 de sable
- Une dizaine de carrelets dans l'île
- Les écluses : des Sables-Vigniers à Chipiona
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
Nature
Histoire
- Les défenses côtières de l'île d'Oléron
- Le conservatoire européen du mur de l'Atlantique
- La vie dans les blockhaus au musée du Gua
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