Sommaire du journal N°24 - Janvier/Février 1997
Chers lecteurs,
Les amendes commencent à pleuvoir: cinq exploitants de campings illégaux viennent d'être lourdement condamnés par le tribunal de Rochefort. L'un d'entre eux devra payer 80 000 F pour avoir installé sur sa parcelle une trentaine d'emplacements de camping et édifié deux chalets et deux cabanons dans une zone non constructible. L'avertissement est clair: les élus de l'île ne veulent plus tolérer ces exploitations "sauvages". Et ils sont allés chercher le soutien du sous-préfet et du procureur de la République de Rochefort. Celui du procureur, qui a requis des peines sévères au cours du procès, leur semble, en tout cas, acquis. Les élus et la justice ne sont pas aussi sévères pour les campings individuels installés depuis longtemps sur des petites parcelles privées. Mais il reste que leurs propriétaires sont déjà tenus, en certains endroits sensibles, sur les communes de Saint-Denis et Saint-Georges notamment (voir le courrier des lecteurs), de déménager leur caravane ou mobil-home dans le délai de trois mois. Et personne n'aura plus le droit dorénavant de vendre en "terrains à camper" des parcelles situées dans des sites protégés ou dans des zones non constructibles. Et, en tout état de cause, les communes exerceront leur droit de préemption. L'offensive est donc sérieuse. En dehors des "zones à camper" autorisées, le camping isolé sera, demain, hors la loi dans l'île. Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 1997.
Les amendes commencent à pleuvoir: cinq exploitants de campings illégaux viennent d'être lourdement condamnés par le tribunal de Rochefort. L'un d'entre eux devra payer 80 000 F pour avoir installé sur sa parcelle une trentaine d'emplacements de camping et édifié deux chalets et deux cabanons dans une zone non constructible. L'avertissement est clair: les élus de l'île ne veulent plus tolérer ces exploitations "sauvages". Et ils sont allés chercher le soutien du sous-préfet et du procureur de la République de Rochefort. Celui du procureur, qui a requis des peines sévères au cours du procès, leur semble, en tout cas, acquis. Les élus et la justice ne sont pas aussi sévères pour les campings individuels installés depuis longtemps sur des petites parcelles privées. Mais il reste que leurs propriétaires sont déjà tenus, en certains endroits sensibles, sur les communes de Saint-Denis et Saint-Georges notamment (voir le courrier des lecteurs), de déménager leur caravane ou mobil-home dans le délai de trois mois. Et personne n'aura plus le droit dorénavant de vendre en "terrains à camper" des parcelles situées dans des sites protégés ou dans des zones non constructibles. Et, en tout état de cause, les communes exerceront leur droit de préemption. L'offensive est donc sérieuse. En dehors des "zones à camper" autorisées, le camping isolé sera, demain, hors la loi dans l'île. Toute l'équipe du journal se joint à moi pour vous souhaiter une très bonne année 1997.
Ile d'Oléron
- Cinq exploitants de campings illégaux condamnés
- Pour une meilleure application de la loi littoral
- Un passeur pour cyclistes et piétons
- Restructuration de La Poste
- Que faire des algues ?
Château-d'Oléron
- Nouvelles portes d'écluses
- Le faux départ du maire
- Du rififi dans le marais de la Brande
- Traitement du bois contre les parasites
Saint-Trojan-les-Bains
- Un espace loisirs dans le marais Perdu
- La fête du mimosa
- Nouveaux parkings à vélos
- Améliorer le réseau pluvial
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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Courrier des lecteurs
De M. Gérard Brun (Dolus-d’Oléron)