Sommaire du journal N°81 - Juillet/Août 2006
Chers lecteurs,
Le tribunal administratif de Poitiers ne chôme pas avec l'île d'Oléron. A peine vient-il de donner tort à la Fédération départementale de l'hôtellerie de plein air, autrement dit les campings, qui s'obstinent à ne pas payer la redevance des ordures ménagères, que la SPPIO dépose un recours contre le permis de construire accordé par la municipalité de Grand-Village à une résidence de loisirs.
Dans le premier cas, l'enjeu est d'importance : les impayés des campings s'élèvent aujourd'hui, selon la communauté de communes, à 800 000 e, ce qui commence à faire une jolie somme. Le bras de fer continue car les campings n'ont apparemment pas l'intention de s'y conformer. Il n'est pas pour autant question pour la CdC de céder même si elle continue de ramasser les ordures des campings.
Dans le second cas, la Société de protection des paysages de l'île d'Oléron ne veut pas d'un projet de résidence de tourisme à Grand-Village. L'association s'était déjà opposée avec succès à l'implantation d'une résidence Pierre et Vacances, ce qui avait à l'époque suscité la colère du maire de Grand-Village, Jean-Claude Blémon, qui en espérait un certain nombre d'emplois. Il est de nouveau exaspéré par le recours de la SPPIO dont la présidente, Monique Vidalenc, est l'une de ses administrées.
A Dolus et à Saint-Georges, on se préoccupe de logement social. Avec la hausse effarante des prix de l'immobilier, qui semble un peu se calmer, les jeunes ne peuvent plus se loger sur place. Il est urgent de remédier à cette situation qui entrave le développement de l'île.
Le tribunal administratif de Poitiers ne chôme pas avec l'île d'Oléron. A peine vient-il de donner tort à la Fédération départementale de l'hôtellerie de plein air, autrement dit les campings, qui s'obstinent à ne pas payer la redevance des ordures ménagères, que la SPPIO dépose un recours contre le permis de construire accordé par la municipalité de Grand-Village à une résidence de loisirs.
Dans le premier cas, l'enjeu est d'importance : les impayés des campings s'élèvent aujourd'hui, selon la communauté de communes, à 800 000 e, ce qui commence à faire une jolie somme. Le bras de fer continue car les campings n'ont apparemment pas l'intention de s'y conformer. Il n'est pas pour autant question pour la CdC de céder même si elle continue de ramasser les ordures des campings.
Dans le second cas, la Société de protection des paysages de l'île d'Oléron ne veut pas d'un projet de résidence de tourisme à Grand-Village. L'association s'était déjà opposée avec succès à l'implantation d'une résidence Pierre et Vacances, ce qui avait à l'époque suscité la colère du maire de Grand-Village, Jean-Claude Blémon, qui en espérait un certain nombre d'emplois. Il est de nouveau exaspéré par le recours de la SPPIO dont la présidente, Monique Vidalenc, est l'une de ses administrées.
A Dolus et à Saint-Georges, on se préoccupe de logement social. Avec la hausse effarante des prix de l'immobilier, qui semble un peu se calmer, les jeunes ne peuvent plus se loger sur place. Il est urgent de remédier à cette situation qui entrave le développement de l'île.
Ile d'Oléron
- La gestion du complexe aquatique
- Complexe aquatique : PLU et enquête publique
- L’hôtellerie de plein air déboutée
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
- Recours contre la résidence de tourisme
- Des recours à répétition
- Visite chez les cueilleurs d’or blanc
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
- PLU : attirer les jeunes ménages
- La forêt de Domino sécurisée
- Une association pour les Sables Vignier
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
Accédez aux autres sommaires
Dernière minute
N°186 - Janvier/Février 2024
Commentaires
Courrier des lecteurs
De M. Alain Hucault (Niort), propriétaire à Saint-Georges