Sommaire du journal N°80 - Mai/Juin 2006
Chers lecteurs,
La justice, bien qu'elle s'en défende, est sensible aux médias. Il avait suffi d'une émission de télévision, l'an dernier, pour que le procureur de la République de Rochefort se réveille et enjoigne aux maires de verbaliser les installations illégales de campings isolés. Le maire de Saint-Georges a ainsi adressé 142 courriers aux propriétaires de parcelles situées dans les sites les plus sensibles en leur signifiant l'obligation de déplacer leurs caravanes ou leurs mobile homes dans un délai de trois mois. L'Association des propriétaires de terrains de loisirs proteste en estimant que la municipalité passe en force alors qu'une concertation était prévue.
Nous l'avions déjà écrit, il y a quelques années : le problème des terrains de loisirs s'éteindra de la même façon que le privilège des bouilleurs de cru par la non-transmission – par héritage ou par vente – de l'autorisation de camper sur des parcelles isolées. En attendant, il faudra bien régler le problème des sites inscrits, intégrés dans les plans d'urbanisme, qui obéissent à des lois de protection de l'environnement définies par l'Etat et ne dépendent pas du simple bon vouloir des communes. Là réside le malentendu. Pour sortir de l'impasse, des négociations doivent s'ouvrir. Elles pourraient passer par la création d'une commission permanente composée de représentants de la Communauté de communes et de ceux des organisations les plus représentatives des propriétaires de terrains de loisirs.
La justice, bien qu'elle s'en défende, est sensible aux médias. Il avait suffi d'une émission de télévision, l'an dernier, pour que le procureur de la République de Rochefort se réveille et enjoigne aux maires de verbaliser les installations illégales de campings isolés. Le maire de Saint-Georges a ainsi adressé 142 courriers aux propriétaires de parcelles situées dans les sites les plus sensibles en leur signifiant l'obligation de déplacer leurs caravanes ou leurs mobile homes dans un délai de trois mois. L'Association des propriétaires de terrains de loisirs proteste en estimant que la municipalité passe en force alors qu'une concertation était prévue.
Nous l'avions déjà écrit, il y a quelques années : le problème des terrains de loisirs s'éteindra de la même façon que le privilège des bouilleurs de cru par la non-transmission – par héritage ou par vente – de l'autorisation de camper sur des parcelles isolées. En attendant, il faudra bien régler le problème des sites inscrits, intégrés dans les plans d'urbanisme, qui obéissent à des lois de protection de l'environnement définies par l'Etat et ne dépendent pas du simple bon vouloir des communes. Là réside le malentendu. Pour sortir de l'impasse, des négociations doivent s'ouvrir. Elles pourraient passer par la création d'une commission permanente composée de représentants de la Communauté de communes et de ceux des organisations les plus représentatives des propriétaires de terrains de loisirs.
Ile d'Oléron
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
- Les impôts augmentent de 4 %
- Centre Leclerc, compromis de vente annulé
- La Grande Côte a son association
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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Courrier des lecteurs
De M. Philippe Uzel (Saint-Trojan)