Sommaire du journal N°68 - Mai/Juin 2004
Chers lecteurs,
Nous consacrons ce numéro, comme nous en avons pris l'habitude tous les trois ans, à un entretien avec les maires.
D'une façon générale, les projets affichés il y a trois ans ont réalisés ou en passe de l'être avec, ici ou là, quelques couacs. Ceux-ci sont dus le plus souvent à la vigilance écologique de la SPPIO, la Société de protection des paysages de l'île d'Oléron. D'aucuns trouveront cette vigilance parfois excessive quand elle fait échouer des projets importants sur le plan économique. On pense, par exemple, à l'implantation avortée de Pierre et Vacances à Grand-Village. Mais il ne faut pas oublier que si la SPPIO a une telle influence, contre laquelle pestent souvent les élus, c'est tout simplement parce qu'elle est suivie, la plupart du temps, par le tribunal administratif de Poitiers. Et celui-ci, comme presque tous les tribunaux administratifs de France, interprète la loi, et notamment la loi Littoral, dans le sens voulu par le législateur, c'est-à-dire pour une défense accrue des paysages naturels.
Est-ce un bien ou un mal ? Est-ce une chance ou une calamité d'avoir une SPPIO sur son territoire ? A chacun de juger...
Une autre évolution marque ces mandatures : les pouvoirs de plus en plus étendus de la communauté de communes et le passage à la taxe professionnelle unique pour pouvoir financer les projets de l'ensemble de l'île. Cela ne va pas sans quelques remous et les maires voudraient bien garder une petite part de cette taxe pour conserver une parcelle d'autonomie sur leur commune.
Mais, en ces temps de disette, comment financer autrement, par exemple, le plan vélo 2, très attendu ?
Nous consacrons ce numéro, comme nous en avons pris l'habitude tous les trois ans, à un entretien avec les maires.
D'une façon générale, les projets affichés il y a trois ans ont réalisés ou en passe de l'être avec, ici ou là, quelques couacs. Ceux-ci sont dus le plus souvent à la vigilance écologique de la SPPIO, la Société de protection des paysages de l'île d'Oléron. D'aucuns trouveront cette vigilance parfois excessive quand elle fait échouer des projets importants sur le plan économique. On pense, par exemple, à l'implantation avortée de Pierre et Vacances à Grand-Village. Mais il ne faut pas oublier que si la SPPIO a une telle influence, contre laquelle pestent souvent les élus, c'est tout simplement parce qu'elle est suivie, la plupart du temps, par le tribunal administratif de Poitiers. Et celui-ci, comme presque tous les tribunaux administratifs de France, interprète la loi, et notamment la loi Littoral, dans le sens voulu par le législateur, c'est-à-dire pour une défense accrue des paysages naturels.
Est-ce un bien ou un mal ? Est-ce une chance ou une calamité d'avoir une SPPIO sur son territoire ? A chacun de juger...
Une autre évolution marque ces mandatures : les pouvoirs de plus en plus étendus de la communauté de communes et le passage à la taxe professionnelle unique pour pouvoir financer les projets de l'ensemble de l'île. Cela ne va pas sans quelques remous et les maires voudraient bien garder une petite part de cette taxe pour conserver une parcelle d'autonomie sur leur commune.
Mais, en ces temps de disette, comment financer autrement, par exemple, le plan vélo 2, très attendu ?
Ile d'Oléron
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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