Sommaire du journal N°64 - Septembre/Octobre 2003
Chers lecteurs,
La Chambre régionale des comptes Poitou-Charentes a adressé des observations à la Communauté de communes de l'île sur sa gestion entre 1995 et 1999 et critiqué la façon dont a été géré le dossier des pistes cyclables et notamment celui de la dorsale.
L'inconvénient pour le citoyen, c'est que les rapports d'observation des Chambres régionales des comptes ou de la Cour des comptes arrivent toujours après la bataille, si j'ose dire. Mais il ne peut en être autrement. Les magistrats ne peuvent contrôler en direct l'ensemble des collectivités et établissements publics d'une région. Il leur faut nécessairement du temps et leurs rapports concernent obligatoirement des faits passés.
Dans le cas d'Oléron, il n'y a eu ni malversation ni trace d'enrichissement personnel dû à des commissions occultes à des élus, par exemple. Juste la critique d'une gestion qui aurait pu être meilleure.
Cela dit, ici comme ailleurs, l'intérêt de ces Chambres régionales est que les élus se savent étroitement surveillés même s'ils ne peuvent être montrés du doigt qu'a posteriori. Et mieux surveillés que par leurs électeurs qui n'ont ni les moyens ni souvent la compétence pour critiquer leur gestion. Ils sont donc condamnés à la transparence.
Honnêtes et dévoués pour la plupart, c'est d'ailleurs leur intérêt pour éviter qu'ils ne soient soupçonnés à tort.
A Oléron, dans le cas des ordures ménagères, nombre d'entre vous – votre courrier en témoigne –, apprécieraient le détail de la gestion et, par exemple, le plan de financement de la station d'épuration.
La Chambre régionale des comptes Poitou-Charentes a adressé des observations à la Communauté de communes de l'île sur sa gestion entre 1995 et 1999 et critiqué la façon dont a été géré le dossier des pistes cyclables et notamment celui de la dorsale.
L'inconvénient pour le citoyen, c'est que les rapports d'observation des Chambres régionales des comptes ou de la Cour des comptes arrivent toujours après la bataille, si j'ose dire. Mais il ne peut en être autrement. Les magistrats ne peuvent contrôler en direct l'ensemble des collectivités et établissements publics d'une région. Il leur faut nécessairement du temps et leurs rapports concernent obligatoirement des faits passés.
Dans le cas d'Oléron, il n'y a eu ni malversation ni trace d'enrichissement personnel dû à des commissions occultes à des élus, par exemple. Juste la critique d'une gestion qui aurait pu être meilleure.
Cela dit, ici comme ailleurs, l'intérêt de ces Chambres régionales est que les élus se savent étroitement surveillés même s'ils ne peuvent être montrés du doigt qu'a posteriori. Et mieux surveillés que par leurs électeurs qui n'ont ni les moyens ni souvent la compétence pour critiquer leur gestion. Ils sont donc condamnés à la transparence.
Honnêtes et dévoués pour la plupart, c'est d'ailleurs leur intérêt pour éviter qu'ils ne soient soupçonnés à tort.
A Oléron, dans le cas des ordures ménagères, nombre d'entre vous – votre courrier en témoigne –, apprécieraient le détail de la gestion et, par exemple, le plan de financement de la station d'épuration.
Ile d'Oléron
- Zoom sur la végétation
- Une pétition contre les odeurs des poubelles
- CdC : observations de la Chambre régionale des comptes
- Les travaux sur le viaduc
- La SPPIO fait le bilan de l'année
- Ostréiculteurs, la fête avant la saison
- Travaux de défense des côtes
- Eric Redon, patron marin malgré tout...
- Complexe aquatique intercommunal
- Sylvie Testud sur l'île
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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Courrier des lecteurs
De Simone Vallin [Ville-d’Avray], propriétaire à Saint-Georges.