Sommaire du journal N°62 - Mai/Juin 2003
Chers lecteurs,
Nombre d'entre vous se plaignent de l'augmentation spectaculaire de la redevance des ordures ménagères : 36% en un an !
On lira, dans ce journal, les explications du président de la communauté de communes. Elles sont claires. Il est vrai, en effet, que l'application des directives européennes, pour limiter la pollution et préserver notre environnement et celui des générations futures, coûte cher. Notons également qu'une partie de la redevance d'enlèvement était auparavant fondue dans la taxe d'habitation et qu'elle reflète aujourd'hui la réalité des coûts.
Une remarque cependant qui nous semble essentielle : l'île d'Oléron compte quelque 13 000 foyers fiscaux secondaires contre à peine 9 000 résidences principales.
Il serait juste, nous semble-t-il, que la communauté de communes définisse le montant de la redevance avec, comme pour l'eau, une partie fixe et une partie variable qui, selon une clé de répartition, prendrait en compte la qualité de la résidence, permanente ou secondaire. Elle pourrait également tenir compte des jours de présence, de la quantité des ordures ramassées... Pour ce dernier point, certaines commaunautés de communes ont équipé les poubelles de puces électroniques grâce auxquelles le camion de ramassage enregistre le poids des ordures en même temps que le nom du propriétaire. Bref, plusieurs formules existent. Mais même si les propriétaires secondaires – qui paient déjà plein pot les taxes locales – ne s'attendent pas à payer une redevance directement proportionnelle à celle de leurs voisins permanents, ils sont en droit d'attendre qu'elle soit quand même nettement inférieure.
Nombre d'entre vous se plaignent de l'augmentation spectaculaire de la redevance des ordures ménagères : 36% en un an !
On lira, dans ce journal, les explications du président de la communauté de communes. Elles sont claires. Il est vrai, en effet, que l'application des directives européennes, pour limiter la pollution et préserver notre environnement et celui des générations futures, coûte cher. Notons également qu'une partie de la redevance d'enlèvement était auparavant fondue dans la taxe d'habitation et qu'elle reflète aujourd'hui la réalité des coûts.
Une remarque cependant qui nous semble essentielle : l'île d'Oléron compte quelque 13 000 foyers fiscaux secondaires contre à peine 9 000 résidences principales.
Il serait juste, nous semble-t-il, que la communauté de communes définisse le montant de la redevance avec, comme pour l'eau, une partie fixe et une partie variable qui, selon une clé de répartition, prendrait en compte la qualité de la résidence, permanente ou secondaire. Elle pourrait également tenir compte des jours de présence, de la quantité des ordures ramassées... Pour ce dernier point, certaines commaunautés de communes ont équipé les poubelles de puces électroniques grâce auxquelles le camion de ramassage enregistre le poids des ordures en même temps que le nom du propriétaire. Bref, plusieurs formules existent. Mais même si les propriétaires secondaires – qui paient déjà plein pot les taxes locales – ne s'attendent pas à payer une redevance directement proportionnelle à celle de leurs voisins permanents, ils sont en droit d'attendre qu'elle soit quand même nettement inférieure.
Ile d'Oléron
- CdC, consensus autour du budget
- Surf, jet-ski, voile, body-board glissent sur l'île
- Réforme du droit des successions : une promotion successorale pour le conjoint
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
- L'année des réalisations
- Rond-point de Délidon, la fin du chantier
- Aménagement du square de la Rémigeasse
Saint-Pierre-d'Oléron
- Discussions autour du port de plaisance
- Opposition municipale : des projets peu adaptés
- Pour la sécurité en mer
- Aire des gens du voyage
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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