Sommaire du journal N°58 - Septembre/Octobre 2002
Chers lecteurs,
Vous lirez, page 2, la lettre que Jean-Claude Blémon, président de la communauté de communes, nous a adressée à la suite de notre dernier éditorial, et ma réponse. Cette mise au point du président oléronais a le mérite de clarifier la position des élus qui ont choisi de «s'appuyer davantage sur le dynamisme des associations locales» et de subventionner des «opérations de moindre ampleur» que le Festival du cuivre et Jet Oléron.
Il reste, en ce qui concerne les résidents secondaires –qui paient les mêmes impôts que les résidents à l'année et qui, pour la plupart, viennent surtout l'été –, qu'ils sont certainement ravis de subventionner le club de foot local et l'école de musique mais qu'ils aimeraient peut-être aussi bénéficier d'animations de qualité lorsqu'ils sont là...
Le maire d'une commune littorale des Landes me disait un jour : «Quand je donne un franc aux résidents principaux, je donne un franc aux résidents secondaires car ils sont à peu près le même nombre et paient autant d'impôts.» Entendez par là qu'il faisait très attention, dans les aménagements, les équipements et les subventions, à donner satisfaction aux uns et aux autres.
Je ne suis pas sûr – et sans vouloir polémiquer – que les choses soient aussi bien partagées dans l'île dont l'économie repose pourtant, en grande partie, sur les résidents secondaires.
Vous lirez, page 2, la lettre que Jean-Claude Blémon, président de la communauté de communes, nous a adressée à la suite de notre dernier éditorial, et ma réponse. Cette mise au point du président oléronais a le mérite de clarifier la position des élus qui ont choisi de «s'appuyer davantage sur le dynamisme des associations locales» et de subventionner des «opérations de moindre ampleur» que le Festival du cuivre et Jet Oléron.
Il reste, en ce qui concerne les résidents secondaires –qui paient les mêmes impôts que les résidents à l'année et qui, pour la plupart, viennent surtout l'été –, qu'ils sont certainement ravis de subventionner le club de foot local et l'école de musique mais qu'ils aimeraient peut-être aussi bénéficier d'animations de qualité lorsqu'ils sont là...
Le maire d'une commune littorale des Landes me disait un jour : «Quand je donne un franc aux résidents principaux, je donne un franc aux résidents secondaires car ils sont à peu près le même nombre et paient autant d'impôts.» Entendez par là qu'il faisait très attention, dans les aménagements, les équipements et les subventions, à donner satisfaction aux uns et aux autres.
Je ne suis pas sûr – et sans vouloir polémiquer – que les choses soient aussi bien partagées dans l'île dont l'économie repose pourtant, en grande partie, sur les résidents secondaires.
Ile d'Oléron
- Une lettre de Jean-Claude Blémon, président de la Communauté de communes
- Pas de promotion touristique en 2003 ?
- SPPIO, le béton ne passera pas...
- La bicyclette, vedette de l'été 2003
- Usine d'incinération : la menace de R. Bachelot
- La téléphonie mobile sur l'île
Château-d'Oléron
- Nouvelles salles d'exposition à la Citadelle
- PPR : l'incompréhension
- Un groupe de travail pour le centre-bourg
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
- Le projet du port à l'étude
- La démission de Colette Victorien
- Des poissons signés "Poitou-Charentes"
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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Courrier des lecteurs
Nous avons reçu un e-mail d’un de nos lecteurs, résident secondaire, concernant la campagne d’informations sur la redevance incitative.