Sommaire du journal N°52 - Septembre/Octobre 2001
Chers lecteurs,
La création des communautés de communes a représenté un progrès sensible sur le plan de l'aménagement du territoire et plus encore sur l'île d'Oléron que dans bien d'autres endroits.
Parce que l'île forme un tout, une entité homogène et que les intérêts bien compris des communes est de s'unir pour bénéficier de services ou d'équipements collectifs qu'ils ne pourraient s'offrir individuellement.
Mais cette solidarité entraîne aussi des devoirs et il semble bien que certains l'oublient. On sait, par exemple, que la loi oblige les communes de plus de 5 000 habitants à aménager des aires d'accueil pour les gens du voyages.
Or, il n'y a qu'une commune dans ce cas sur lîle, c'est Saint-Pierre qui cherche désespérément un terrain. Elle croyait en avoir trouvé un et était prête à investir 800 000 F pour l'aménager. Et puis, comme les riverains n'en voulaient pas, il a fallu en chercher un autre qu'on ne trouve pas. En attendant les nomades se sont installés, cet été, près des tennis et leur attitude agressive a empêché le tournoi de juillet et entraîné la démission du bureau du tennis-club.
Le problème n'est pas simple. Mais il faut bien trouver une solution.
Et c'est l'ensemble des communes de l'île qui, nous semble-t-il, doit contribuer à résoudre le problème et n'en pas laisser le seul fardeau à Saint-Pierre.
La création des communautés de communes a représenté un progrès sensible sur le plan de l'aménagement du territoire et plus encore sur l'île d'Oléron que dans bien d'autres endroits.
Parce que l'île forme un tout, une entité homogène et que les intérêts bien compris des communes est de s'unir pour bénéficier de services ou d'équipements collectifs qu'ils ne pourraient s'offrir individuellement.
Mais cette solidarité entraîne aussi des devoirs et il semble bien que certains l'oublient. On sait, par exemple, que la loi oblige les communes de plus de 5 000 habitants à aménager des aires d'accueil pour les gens du voyages.
Or, il n'y a qu'une commune dans ce cas sur lîle, c'est Saint-Pierre qui cherche désespérément un terrain. Elle croyait en avoir trouvé un et était prête à investir 800 000 F pour l'aménager. Et puis, comme les riverains n'en voulaient pas, il a fallu en chercher un autre qu'on ne trouve pas. En attendant les nomades se sont installés, cet été, près des tennis et leur attitude agressive a empêché le tournoi de juillet et entraîné la démission du bureau du tennis-club.
Le problème n'est pas simple. Mais il faut bien trouver une solution.
Et c'est l'ensemble des communes de l'île qui, nous semble-t-il, doit contribuer à résoudre le problème et n'en pas laisser le seul fardeau à Saint-Pierre.
Ile d'Oléron
- Un mois d'août surchargé jusqu'au dernier jour
- Le directeur de station licencié
- Plan de sauvetage du merlu appliqué : «Port en danger»
- Naufrage du Cambronne, deux marins disparus
- La sardine de La Cotinière en boîte
- Accident mortel sur le viaduc
- Déchets : l'usine d'Oléron rayée de la carte
- La blonde oléronaise séduit les vacanciers
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
Saint-Denis-d'Oléron
Histoire
- Un pont sans routes d'accès (suite du JdP n° 51)
- Le pont, une prouesse expliquée en détail
- On en parlait déjà avant le pont
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Courrier des lecteurs
De Jean-François Demoulin, propriétaire à Dolus