Sommaire du journal N°46 - Septembre/Octobre 2000
Chers lecteurs,
Dans l'affaire interminable qui oppose la discothèque Le Capricorne, à La Brée, à l'un de ses voisins, M. Mézailles, le permis de construire a été une nouvelle fois annulé par le tribunal administratif de Poitiers. Ce qui n'a pas empêché le préfet d'accorder à la boîte de nuit, sur l'avis du maire et des gendarmes, une autorisation d'ouverture tardive, qui sera, comme d'autres l'ont été, annulée par ce même tribunal. Cela fait des années que cela dure et nous avons suffisamment parlé de cette affaire pour ne plus y revenir.
Mais elle est significative, à nos yeux, de la dérive de notre Etat de droit. A partir du moment où un maire, des gendarmes, un préfet ne tiennent pas compte des jugements d'un tribunal, il ne faut pas être surpris de voir des gens bloquer des routes et se moquer de la liberté d'autrui pour faire aboutir des revendications particulières. Et, on l'a vu lors du dernier conflit sur les carburants, sans le moindre scrupule puisque le gouvernement demande à la police et à la justice de fermer les yeux. Comment s'étonner, dès lors, que des jeunes ne comprennent pas qu'on puisse leur interdire de taguer, de faire un bruit insupportable avec leurs cyclomoteurs, ou même d'enfreindre la loi de façon plus grave.
Nos autorités sont bien coupables d'accréditer l'idée qu'il faut enfreindre la loi pour pouvoir se faire entendre.
Et il n'est pas "réac" de le déplorer.
Dans l'affaire interminable qui oppose la discothèque Le Capricorne, à La Brée, à l'un de ses voisins, M. Mézailles, le permis de construire a été une nouvelle fois annulé par le tribunal administratif de Poitiers. Ce qui n'a pas empêché le préfet d'accorder à la boîte de nuit, sur l'avis du maire et des gendarmes, une autorisation d'ouverture tardive, qui sera, comme d'autres l'ont été, annulée par ce même tribunal. Cela fait des années que cela dure et nous avons suffisamment parlé de cette affaire pour ne plus y revenir.
Mais elle est significative, à nos yeux, de la dérive de notre Etat de droit. A partir du moment où un maire, des gendarmes, un préfet ne tiennent pas compte des jugements d'un tribunal, il ne faut pas être surpris de voir des gens bloquer des routes et se moquer de la liberté d'autrui pour faire aboutir des revendications particulières. Et, on l'a vu lors du dernier conflit sur les carburants, sans le moindre scrupule puisque le gouvernement demande à la police et à la justice de fermer les yeux. Comment s'étonner, dès lors, que des jeunes ne comprennent pas qu'on puisse leur interdire de taguer, de faire un bruit insupportable avec leurs cyclomoteurs, ou même d'enfreindre la loi de façon plus grave.
Nos autorités sont bien coupables d'accréditer l'idée qu'il faut enfreindre la loi pour pouvoir se faire entendre.
Et il n'est pas "réac" de le déplorer.
Ile d'Oléron
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- Sécurité : une saison calme
- Une publicité très voyante
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- Festoléron : succès pour la première édition
- La piste DFCI contestée
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- Le blanc du "noir" de plus en plus apprécié
- La réglementation des nuisances sonores Les bruits de voisinage (suite du n°44)
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Château-d'Oléron
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- Un autre programme résidentiel à Ors
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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Courrier des lecteurs
De Jean-François Demoulin, propriétaire à Dolus