Sommaire du journal N°43 - Mars/Avril 2000
Chers lecteurs,
Après des moments d'hébétude et de découragement, les Oléronnais se sont attelés à la reconstruction. Pour découvrir que les dégâts étaient plus importants que ce qu'on avait cru immédiatement après la tempête. C'est ainsi que l'Office national des forêts estime aujourd'hui à 100 000 m3 le volume de bois à terre, alors qu'il avait pensé qu'il n'y en avait "que" 50 000 m3 dans les premiers jours de janvier. On n'aurait pas imaginé non plus que, deux mois après le cataclysme, on attendrait encore des tuiles, les fabricants ne pouvant plus fournir.
Les îliens tentent de faire face car le grand enjeu reste la saison touristique qu'il faut sauver à tout prix. De ce point de vue, les réservations pour les vacances semblent avoir repris un rythme normal. En fait, ce que les touristes craignent et qui les fait fuir, c'est la marée noire.
La proximité de la Bretagne et les quelques "galettes" arrivées à Chassiron en janvier ont fait plus de mal au tourisme oléronnais qu'une tempête aussi catastrophique fût-elle.
Après notre numéro spécial qui nous avait fait occulter le reste de l'actualité oléronnaise, nous reprenons le cours normal de notre édition. C'est ainsi que vous apprendrez, avec quelques semaines de retard, que l'île d'Oléron compte, pour la première fois, plus de 20 000 habitants.
Après des moments d'hébétude et de découragement, les Oléronnais se sont attelés à la reconstruction. Pour découvrir que les dégâts étaient plus importants que ce qu'on avait cru immédiatement après la tempête. C'est ainsi que l'Office national des forêts estime aujourd'hui à 100 000 m3 le volume de bois à terre, alors qu'il avait pensé qu'il n'y en avait "que" 50 000 m3 dans les premiers jours de janvier. On n'aurait pas imaginé non plus que, deux mois après le cataclysme, on attendrait encore des tuiles, les fabricants ne pouvant plus fournir.
Les îliens tentent de faire face car le grand enjeu reste la saison touristique qu'il faut sauver à tout prix. De ce point de vue, les réservations pour les vacances semblent avoir repris un rythme normal. En fait, ce que les touristes craignent et qui les fait fuir, c'est la marée noire.
La proximité de la Bretagne et les quelques "galettes" arrivées à Chassiron en janvier ont fait plus de mal au tourisme oléronnais qu'une tempête aussi catastrophique fût-elle.
Après notre numéro spécial qui nous avait fait occulter le reste de l'actualité oléronnaise, nous reprenons le cours normal de notre édition. C'est ainsi que vous apprendrez, avec quelques semaines de retard, que l'île d'Oléron compte, pour la première fois, plus de 20 000 habitants.
Ile d'Oléron
- Après l'urgence, l'île panse ses plaies
- Un plan tempête de 1,8 milliard de francs
- Après la ruée sur les tuiles, pénurie jusqu'en mai
- Les agents d'assurances vont devoir payer plus de 150 MF
- Le capitaine du port de Boyardville raconte sa nuit de tempête
- Les campings dévastés espèrent des aides
- Ostréiculture : «Des faits et des chiffres»
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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