Sommaire du journal N°40 - Septembre/Octobre 1999
Chers lecteurs,
La rumeur, le plus souvent infondée et parfois détestable, présente au moins un avantage : elle incite à aller voir de plus près de quoi il retourne.
C'est ainsi qu'on parlait, depuis des années, de la "faille de Dolus" – que la rumeur situait plus précisément à la Vezouzière – qui aurait été à l'origine des tremblements de terre et notamment de celui de 1972, présent encore dans toutes les mémoires des Oléronais. Or on verra, dans ce numéro, que, s'il existe bien une faille à Oléron ou dans les environs, les scientifiques savent qu'elle n'est pas à Dolus et ils vont très bientôt la localiser.
De la même façon, quand on se lamente sur l'importance des déchets sur nos plages, la rumeur montre du doigt les Espagnols. On verra, là aussi, grâce à l'observation d'au-tres scientifiques, que nous sommes d'abord les premiers fautifs et que l'instauration du tri sélectif des ordures dans toute la France aura, aussi, pour effet de diminuer, au moins de moitié, les déchets sur nos plages.
Nous avons également, dans ce numéro, choisi de donner la parole aux jeunes, après la saison. Ce sont encore de modestes employés puisqu'ils sont "emplois-jeunes" des collectivités locales mais leurs opinions méritent d'être prises en compte. Et notamment à propos des pistes cyclables, sur lesquelles il y a effectivement beaucoup à dire et à redire. On parle souvent de l'île de Ré mais il faut aller voir aussi nos voisins du Nord-Médoc qui ont aménagé des dizaines de km en deux ans.
Nous reparlerons des pistes cyclables...
La rumeur, le plus souvent infondée et parfois détestable, présente au moins un avantage : elle incite à aller voir de plus près de quoi il retourne.
C'est ainsi qu'on parlait, depuis des années, de la "faille de Dolus" – que la rumeur situait plus précisément à la Vezouzière – qui aurait été à l'origine des tremblements de terre et notamment de celui de 1972, présent encore dans toutes les mémoires des Oléronais. Or on verra, dans ce numéro, que, s'il existe bien une faille à Oléron ou dans les environs, les scientifiques savent qu'elle n'est pas à Dolus et ils vont très bientôt la localiser.
De la même façon, quand on se lamente sur l'importance des déchets sur nos plages, la rumeur montre du doigt les Espagnols. On verra, là aussi, grâce à l'observation d'au-tres scientifiques, que nous sommes d'abord les premiers fautifs et que l'instauration du tri sélectif des ordures dans toute la France aura, aussi, pour effet de diminuer, au moins de moitié, les déchets sur nos plages.
Nous avons également, dans ce numéro, choisi de donner la parole aux jeunes, après la saison. Ce sont encore de modestes employés puisqu'ils sont "emplois-jeunes" des collectivités locales mais leurs opinions méritent d'être prises en compte. Et notamment à propos des pistes cyclables, sur lesquelles il y a effectivement beaucoup à dire et à redire. On parle souvent de l'île de Ré mais il faut aller voir aussi nos voisins du Nord-Médoc qui ont aménagé des dizaines de km en deux ans.
Nous reparlerons des pistes cyclables...
Ile d'Oléron
- L'été vu par les jeunes d'Oléron
- Moins de vols, plus de bagarres et d'accidents
- Chronique de la mer : la saison des tentacules
- La "faille de Dolus" démythifiée
- Les yeux sur la ligne des côtes
- «La mer a mal au ventre»
- La mer poubelle
Château-d'Oléron
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
Accédez aux autres sommaires
Dernière minute
N°186 - Janvier/Février 2024
Commentaires
Courrier des lecteurs
Marie-Claude Laurent [Rochefort], propriétaire à Dolus, nous a envoyé un courrier adressé à Pascal Massicot, président de la Communauté de communes, concernant le péage.