Sommaire du journal N°19 - Mars/Avril 1996
Chers lecteurs,
On est certain maintenant - après la publication du décret d'application -que le produit de l'écotaxe sera directement affecté à la protection de l'environnement. Ce qui est rassurant mais ne satisfait pas, pour autant, tous ceux qui sont opposés à toute entrave à la liberté de circuler. Un certain nombre de nos lecteurs font le choix d'éviter le pont de Rochefort. Ils en ont la possibilité. Nulle autre possibilité, en revanche, pour rejoindre l'île que d'emprunter le pont. A moins de ressusciter un service de bacs! Les élus sont bien embarrassés, ceux de l'île, qui n'ont pas demandé l'instauration de cette taxe - imaginée vraisemblablement, encore une fois, par un jeune énarque- et ceux du Conseil général qui doivent mettre en place son recouvrement. Difficile de ne pas créer une file d'attente devant le pont ! Comme aux plus beaux jours du péage. Mais la rentabilité en moins. Car, une fois les frais de fonctionnement déduits, et la TVA sans doute, que restera-t-il des 20 francs? Et qui sera exonéré? La décision doit être prise incessamment. Il serait, en tout état de cause, incompréhensible, que les résidents secondaires soient défavorisés par rapport aux résidents permanents. La tempête a fait de gros dégâts. Sans accident de personnes, heureusement. Elle était moins forte que celle de 1976 et pourtant, tout le monde a eu l'impression inverse. L'émotion du moment sans doute mais aussi le fait que la modernisation nous a fragilisés. Nous sommes plus atteints, aujourd'hui qu'hier, dans notre vie quotidienne, quand les éléments de déchaînent.
On est certain maintenant - après la publication du décret d'application -que le produit de l'écotaxe sera directement affecté à la protection de l'environnement. Ce qui est rassurant mais ne satisfait pas, pour autant, tous ceux qui sont opposés à toute entrave à la liberté de circuler. Un certain nombre de nos lecteurs font le choix d'éviter le pont de Rochefort. Ils en ont la possibilité. Nulle autre possibilité, en revanche, pour rejoindre l'île que d'emprunter le pont. A moins de ressusciter un service de bacs! Les élus sont bien embarrassés, ceux de l'île, qui n'ont pas demandé l'instauration de cette taxe - imaginée vraisemblablement, encore une fois, par un jeune énarque- et ceux du Conseil général qui doivent mettre en place son recouvrement. Difficile de ne pas créer une file d'attente devant le pont ! Comme aux plus beaux jours du péage. Mais la rentabilité en moins. Car, une fois les frais de fonctionnement déduits, et la TVA sans doute, que restera-t-il des 20 francs? Et qui sera exonéré? La décision doit être prise incessamment. Il serait, en tout état de cause, incompréhensible, que les résidents secondaires soient défavorisés par rapport aux résidents permanents. La tempête a fait de gros dégâts. Sans accident de personnes, heureusement. Elle était moins forte que celle de 1976 et pourtant, tout le monde a eu l'impression inverse. L'émotion du moment sans doute mais aussi le fait que la modernisation nous a fragilisés. Nous sommes plus atteints, aujourd'hui qu'hier, dans notre vie quotidienne, quand les éléments de déchaînent.
Ile d'Oléron
- La plus forte tempête depuis 20 ans
- Echouage d'un morse
- Une étude sur l'écotaxe
- Du rififi à La Cotinière
- La mémoire des pierres
Château-d'Oléron
- Le bassin de la fontaine sera démoli
- A voile ou à l'aviron
- Mise en examen du 1er adjoint
- Permis de construire annulé
- La voirie au peigne fin
Saint-Trojan-les-Bains
Grand-Village
Dolus-d'Oléron
Saint-Pierre-d'Oléron
Saint-Georges-d'Oléron
La Brée-les-Bains
Saint-Denis-d'Oléron
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Commentaires
Courrier des lecteurs
Mme Le Floch [Montrouge], propriétaire au Château, nous a envoyé ce courrier qu’elle a adressé au président de la CdC.